MARCHAND Emile
Admis aspirant à Tours en 1911.
MARCHAND
24 ans en 1886
MARCHAND Célestin Eugène
Né à Vannes (56) le 25/03/1841 dans la demeure de la déclarante, Mariette CHAMAILLARD, 43 ans, sage-femme, domiciliée à Vannes, rue St-Guénhaël, fils naturel de Jeanne MARCHAND, 29 ans, s.p., native de Josselin en ce département et domiciliée à Vannes.
Témoins : Julien FLEURY, 34 ans, avocat demeurant place Henri-IV et Michel NEVEU, 28 ans, domestique, demeurant rue du Mené, tous deux domiciliés à Vannes.
Sa mère est issue d'une famille MARCHAND de Josselin qui compta plusieurs charrons, dont : MARCHAND Julien en 1848 et son gendre GLOCHON Henri en 1871.
Célestin Eugène MARCHAND partit sur le tour de France des compagnons du Devoir et fut reçu compagnon charron à l'âge de 29 ans à Bordeaux pour la Saint-Jean 1870 sous le nom de Vannois Joli cœur.
La suite de sa carrière n'a pas pu être reconstituée.
(Sources : AD Morbihan : Etat-Civil, Recensements).
MARCHAND
Président des CC. réunis de St-Nazaire en 1886.
A partir de 1889 il demeurait 12, place Marceau.
MARCHAND
Vivant à Couture en 1884.
MARCHAND Marie Philomène
Née Marie Philomène THAIZE aux Côtes-d'Arey (38) le 1/08/1853, fille d'Antoine THAIZE (décédé aux Côtes-d'Arey le 12/04/1880) et de Marie DURAND.
Mariée en 1ères noces à Pierre Antoine MARCHAND, né à Saint-Jean-la-Bussière (69) le 26/09/1847, fils de Claude Marie MARCHAND et d'Antoinette GOUPY..
Son mari décéda à Lyon-5e le 29/12/1881, restaurateur, 120, chemin de la Demi-Lune.
Mme veuve MARCHAND s'établit ensuite à Lyon-3e, au 186, avenue de Saxe, et devint au début de l'année 1884 la Mère des CC. bourreliers-harnacheurs et forgerons du Devoir de Lyon.
Elle se remaria à Lyon-3e le 13/08/1885 avec Jean Charles DEFOUR, qui était garçon de café dans son établissement (voir la notice DEFOUR, Mère) et demeura la Mère des CC. bourreliers, forgerons et sabotiers jusqu'en 1889.Mme GENTHIAL lui succéda à la même adresse.
(Source : AD Lyon numérisées : Etat civil).
MARCHAND
Président de la Fédération Compagnonnique de tous les Devoirs réunis de St-Nazaire en 1886-1889.
MARCHAND Louis
Né à Plassac (17) le 9/03/1814, fils de Jean MARCHAND, cultivateur, et de Jeanne BERTIN.
Témoins : Antoine GUERRY, 50 ans, cultivateur, et Jacques BABIN, journalier.
Il fut reçu compagnon sabotier du Devoir sous le nom de Saintonge Sans Façon.
Marié à Montignac-Charente (16) le 16/09/1845, profession : sabotier à Montignac, avec Catherine LAGOUTTE, lingère, 25 ans, fille de Michel LAGOUTTE et Victoire GUILLEBAUD.
Le couple s'établit ensuite à Barbezieux (16).
Président des Anciens Compagnons Réunis de Barbézieux.
Il décéda à Barbezieux le 20/03/1889, âgé de 76 ans, ancien sabotier, rue de la Boissière, époux de Léontine (sic) LAGOUTTE.
Déclaration de décès par François TEXIER, 38 ans, secrétaire de mairie, Grand'rue, et Jean BROUSSET, 56 ans, garde-champêtre.
Sa notice nécrologique dans le journal La Fédération Compagnonnique le mentionne décédé dans sa 77e année "après 40 ans de Compagnonnage" ce qui le donne reçu vers 1849, ce qui est probablement inexact. Il faudrait plutôt lire "50 ans" et donc reçu vers1839.
Sa veuve, Catherine LAGOUTTE, décéda à Barbezieux le 7/03/1892, âgée de 72 ans, rue de la Boissière.
(Source : AD Charente-Maritime et Charente numérisées : Etat civil).
MARCHAND Diès
Ce compagnon charron, ainsi que 6 autres compagnons (charrons et taillandiers), fut condamné à 3 mois d'emprisonnement et ensuite "tenus de battre aux champs suivant les termes usités entre les maîtres et les compagnons" pour avoir exercé des violences sur un garçon taillandier "pour raison du devoir" à Nantes, le 15 septembre 1732.
Voir : DEVAUX Jean Charles, FOURNERET Pierre, AUBRY Jean, CHERON Louis, VALLETTE Jérôme, HOUET René.
Source : "Le Compagnonnage et la police de Nantes (1732-1768)". Textes transcrits par O. MENARD. Page 1, document n° 1 : Archives municipales de Nantes, FF 258, pièce n° 1 : Sentence de condamnation contre les compagnons charrons et taillandiers pour rixe à l'occasion du devoir, 13 novembre 1732". (en ligne).
MARCHAND
Passé à St-Maximin le 14 mai 1846.