ALBERT François
Né à Boresse (17) le 28/08/1841, fils de Pierre ALBERT, 29 ans, tisserand à Bassenet, et de Marie CHARRON, 25 ans, cultivatrice.
Témoins : Jacques TEXIER, 65 ans, meunier, et Louis CHARRON, 28 ans, boulanger.
Il fut reçu à Nantes à la St-Joseph 1864 compagnon passant charpentier du Devoir sous le nom d'Angoumois l'Ami du Trait (son nom d'Angoumois et non de Saintonge résulte de la situation de Boresse en limite du département de la Charente et de la commune de Saint-Vallier).
Passé à St-Maximin et à la Ste-Baume le 5 octobre 1866.
A Toulouse (31) vers 1866.
Domicilié à cette date à Saint-Vallier (16).
(Source : AD Charente-Maritime numérisées : Etat civil).
ALBERT Emile
ALBERT Jean Antoine Jules Célestin
Né à Villeneuve-sur-Vère (81) le 27/03/1866, fils de Jean ALBERT, 33 ans, cultivateur à la Cavespagne et de Julie MOLINIER, 24 ans.
Immatriculé sous le n° 918 de la classe 1886 à Albi, il fut dispensé de service (frère au service) mais accomplit une période d'exercices à Albi au 143e régiment d'infanterie, en novembre et décembre 1887.
Adresses successives : 12-02-1888 à Agde (Hérault) ; 4-11-1888 à Berre (13) chez M. Annecey, charron ; 19-05-1890 : Paris, 52, rue de Bretagne (siège des CC. charrons DD) ; 10-07-1890 : Gonesse (95) ; 20-04-1891 : Paris, 52, rue de Bretagne.
il décéda à Villeneuve-sur-Vère le 21/08/1892, célibataire, âgé de 26 ans.
Témoins : Auguste NAVECH, 42 ans, et Julien NAVECH, 22 ans, cultivateurs à la Cavespagne.
(Source : AD Tarn numérisées : Etat civil et Registres matricules).
ALBERT Louis François
Fils de François Louis ALBERT et de Marie SARRAZIN.
Ses parents étaient domiciliés à Tours en 1878.
Immatriculé à Tours sous le n° 395 de la classe 1878, il fut versé dans le service auxiliaire (alimentation) en raison d'une déformation de l'épaule droite.
Passé dans la réserve de l'armée active le 1/07/1884, dans l'armée territoriale le le 1/07/1888, dans la réserve de l'armée territoriale le 1/11/1896 et libéré du service militaire le le 1/11/1904.
Il résidait à Joué-lès-Tours (37) le 28 juin 1891.
Marié avec Clémence Léontine PLOQUIN, née vers 1860.
La qualité de compagnon de ce serrurier est attestée par son enseigne en fer forgé où figurent un compas et une équerre entrecroisés ainsi qu'une croix de la Légion d'honneur (rappel du chef-d'oeuvre de BONIN, Ange le Dauphiné, dit "serrure de Marseille"). Le monogramme AP inclus dans cette enseigne est celui d'ALBERT et PLOQUIN.
Cette enseigne fut donnée au musée du Compagnonnage par le C. serrurier DD BOURJADE.
Louis ALBERT décéda à Joué-lès-Tours, boulevard Gambetta, le 23 octobre 1923, âgé de 65 ans.
Déclaration de décès par son fils Eugène ALBERT, 25 ans, employé de chemin de fer, à Tours, 77, rue Losserand ; et par Joseph CHARLES, 39 ans, estampeur à Joué-lès-Tours, son gendre (marié à Joué-lès-Tours le 17-08-1909 avec Henriette Clémence Louise ALBERT, née le 23-11-1892).
(Source : AD Indre-et-Loire numérisées : Etat civil).
Enseigne en fer forgé avec le monogramme A P (ALBERT et PLOQUIN, nom de son épouse).
ALBERTI Jean
reçu à 22 ans
ALBERTI Paul
ALBIER Jean
ALBIGES Alexandre
Né à Nant (12) le 26/09/1835, fils de Bazile ALBIGÈS, 29 ans, roulier, et de Marie ANDRÉ, 25 ans.
Témoins : Pierre PASTRE, 39 ans, marchand, et César BRUGUIÈRE, 50 ans, propriétaire.
Parti sur le tour de France, il fut reçu compagnon blancher-chamoiseur du Devoir à Paris à la St-Jean-Baptiste 1856 sous le nom de Rouergue l'Aimable.
Premier en ville des compagnons blanchers-chamoiseurs de Paris en 1860.
Marié à Paris-5e le 9/11/1861, mégissier, demeurant à Paris, 15, rue Pascal, né à Nant (12) le 26/09/1835, fils de Bazile ALBIGÈS, 55 ans, et de Marie ANDRÉ, 51 ans, cultivateurs, domiciliés à Nant, consentants au mariage, avec Marie Ernestine GIRARD, blanchisseuse, demeurant avec ses père et mère à Paris-13e, 1, rue des Bourguignons, née à Paris le 25/10/1840, fille de Pierre Auguste GIRARD, 51 ans, mégissier, et d'Emélie Jeanne WENTSEISSEN, 42 ans, blanchisseuse, présents et consentants.
Il n'a pas été fait de contrat de mariage.
Témoins : François Auguste SEMEL, 70 ans, rentier, 87, rue Mouffetard, oncle de l'épouse ; Arsène Victor LAROQUE, 30 ans, tailleur, 7, rue de la Ste-Chapelle, cousin de l'épouse ; Jean LAROQUE, 62 ans, rentier, 92, rue de l'Ecole de Médecine, cousin de l'épouse ; Philippe BROMAN, 26 ans, mégissier, 31, rue des Fossés St-Marcel, ami.
Père des compagnons blanchers-chamoiseurs de Paris dans les années 1860-1910, à Paris-13e, 11, rue des Cordelières.
Membre cotisant avec son épouse de la caisse de retraites de la Fédération Compagnonnique de tous les Devoirs Réunis sous les n° 1117 et 1118.
Délégué de sa corporation au congrès de la Fédération Compagnonnique de tous les Devoirs réunis, à Paris, en 1889.
(Source : AD Aveyron et AM Paris numérisées : Etat civil).
ALBIGES Marie Ernestine
Née à Paris le 25/10/1840, fille de Pierre Auguste GIRARD, mégissier, et d'Emélie Jeanne WENTSEISSEN.
Mariée à Paris-5e le 9/11/1861, blanchisseuse, demeurant avec ses père et mère à Paris-13e, 1, rue des Bourguignons, née à Paris le 25/10/1840, fille de Pierre Auguste GIRARD, 51 ans, mégissier, et d'Emélie Jeanne WENTSEISSEN, 42 ans, blanchisseuse, présents et consentants, avec Alexandre ALBIGÈS (C. blancher-chamoiseur DD, Rouergue l'Aimable), mégissier, demeurant à Paris, 15, rue Pascal, né à Nant (12) le 26/09/1835, fils de Bazile ALBIGÈS, 55 ans, et de Marie ANDRÉ, 51 ans, cultivateurs, domiciliés à Nant, consentants au mariage.
Témoins : François Auguste SEMEL, 70 ans, rentier, 87, rue Mouffetard, oncle de l'épouse ; Arsène Victor LAROQUE, 30 ans, tailleur, 7, rue de la Ste-Chapelle, cousin de l'épouse ; Jean LAROQUE, 62 ans, rentier, 92, rue de l'Ecole de Médecine, cousin de l'épouse ; Philippe BROMAN, 26 ans, mégissier, 31, rue des Fossés St-Marcel, ami.
Mme ALBIGÈS fut Mère des compagnons blanchers-chamoiseurs de Paris-13e, 11, rue des Cordelières, de la fin des années 1860 à 1911 environ.
La société des CC. blanchers-chamoiseurs était établie chez le C. GARDE, 76 avenue des Gobelins depuis les années 1890, mais Mme ALBIGÈS était toujours Mère de sa société.
Elle cessa ses fonctions en 1911 et fut la dernière Mère des compagnons blanchers-chamoiseurs.
Le C. blancher-chamoiseur François BELLIER écrivit en son honneur un long poème intitulé Honneur à notre dernière Mère, publié dans le journal Le Progrès compagnonnique du 1er avril 1911 puis dans celui du 1er mai 1911, légèrement remanié.
(Source : AM Paris numérisées : Etat civil).