MOREAU Joseph Henri Valentin
Fils de Louis MOREAU, garçon meunier à Levroux (en 1846).
En 1867 il était commis boulanger chez Léon BRISSON à Levroux.
A Angoulême en 1870.
Passé à Saumur en 1871.
En 1877 il était boulanger à Levroux. En 1881-1882, il demeurait place du Marché.
MOREAU Ernest François Louis
Il remit en activité la chambre des CC. serruriers de Paris.
Secrétaire-adjoint en 1891. Secrétaire de la caisse de Retraite du Ralliement de Paris depuis 1893. Délégué au congrès du Ralliement de Nantes (1891).
Chevalier de l'Ordre de Jacques et Soubise (1er janvier 1899).
Premier en Ville à la St-Pierre 1899 et 1900.
MOREAU Jean Louis Bruno Fleurie
Né à Saint-Quentin-sur-Indrois (37) le 21/11/1837, fils de Jean MOREAU, 25 ans, tuilier, et d'Amélie BLANCHY, 23 ans.
Témoins : Louis ROCHES, 21 ans, tuilier, et André BODIN, 38 ans, charron.
Prénom usuel : Bruno.
Parti sur le tour de France, il fut reçu compagnon doleur du Devoir à Beaune le 20/04/1862 sous le nom de Tourangeau l'Humanité.
Passé à St-Maximin et à la Ste-Baume (83) le 30 mars 1863.
Marié à Luzillé (37) le 5/07/1864, 26 ans, tonnelier, domicilié à Luzillé, né à Saint-Quentin le 21/11/1837, fils de Jean MOREAU, cultivateur, et d'Amélie BLANCHY, à Saint-Quentin, avec Alexandrine Virginie GOUIN, 20 ans, s.p., née à Luzillé le 26/03/1844, fille de Pierre Alexis GOUIN, tonnelier, et de Virginie MÉTIVIER, à Luzillé.
Témoins : Mathieu FOUASSIER, 32 ans, menuisier à Saint-Quentin, beau-frère de l'époux ; Jacques CLÉMENT, 26 ans, tonnelier à Chédigny (37), ami de l'époux ; Etienne DORNEAU, 54 ans, charpentier à Luzillé, oncle de l'épouse ; Auguste QUENARD, 34 ans, typographe à Tours (37), cousin de l'épouse.
Son épouse décéda à Luzillé le 17/08/1900.
Jean Louis Bruno Fleurie MOREAU décéda à Luzillé le 24/02/1905, âgé de 67 ans, tonnelier, veuf d'Alexandrine Virginie GOUIN, né à Saint-Quentin, fils de feus Jean MOREAU et Amélie BLANCHY.
Déclarants : Appolinaire Alphonse MOREAU, 58 ans, menuisier à Luzillé, frère du défunt ; Célestin Jean cHOLLET, 55 ans, instituteur à Luzillé, ami.
(Source : AD Indre-et-Loire numérisées : Etat civil).
MOREAU
Décédé à 32 ans. Obsèques le 8 décembre 1912.
MOREAU Philippe Louis Isidore
Son père, Philippe Isidore MOREAU, 28 ans, charron à Autry-le-Châtel (45), né à Oizon (18) le 16/05/1826, avait épousé à Saint-Martin-sur-Ocre (45), le 28/03/1854, Marie Jeanne Tranquille PEIGNÉ, 24 ans, domestique à Gien, née à Poilly (45) le 25/09/1829.
Philippe Louis Isidore MOREAU, naquit à Saint-Martin-sur-Ocre (45),aux Cochardières, le 23/04/1854.
Ses parents s'établirent ensuite à Autry-le-Châtel, commune limitrophe du Cher et donc du Berry, où naquirent :
- le 29/01/1856 Marie Louise Prudence
- le 7/06/1858 Jacques Isidore
- le 5/06/1860 Alphonse Angénor
- le 8/03/1863 Louis Désiré.
Nota : Alphonse Angénor MOREAU exerça le métier de charron. Matricule 1883 Cosne classe 1880. Décédé à Gien (45) le 27/03/1892.
Son frère Louis Désiré MOREAU fut aussi charron. Il résidait à Lyon (69), 19, rue des Passants, à l'appel au conseil de révision. Matricule 1134 Cosne classe 1883. Marié à Santranges (18) le 10/07/1887 avec Céline Anastasie GODON. Vécut à Gien (45) puis Bonny (45).
Sa mère, Marie Jeanne Tranquille PEIGNÉ, décéda à Autry-le-Châtel le 31/05/1865, âgée de 35 ans.
L'état de recensement d'Autry-le-Châtel pour 1866 mentionne au bourg (vue 8/30) : Isidore MOREAU, 37 ans, charron ; Isidore, son fils aîné, 12 ans ; Marie, 9 ans, sa fille ; Alphonse, 6 ans, son fils.
Le foyer n'est plus présent sur la commune en 1872 et la famille MOREAU n'est plus présente sur l'état civil. Les fils ne figurent pas sur les tables des matricules du Loiret.
La liste cantonale de tirage au sort des jeunes gens de la classe 1874 du canton de Léré (18) mentionne sous le n° 218 (vue 82/250) : MOREAU Louis Philippe Isidore, charron, résidant à Paris, 52, rue de Bretagne (siège des CC. charrons DD). Il fut déclaré "Bon, dispensé provisoirement comme soutien de famille".
Philippe Louis Isidore MOREAU entra à la Société des CC. charrons DD à Paris où il fut reçu compagnon pour la Ste-Catherine 1874 sous le nom de Berry le Coeur Loyal.
Il se maria à Santranges (Cher) le 16/08/1876, 22 ans, profession : charron à Santranges, avec Adélaïde BOULET, s.p., 27 ans, née à Santranges le 26/06/1849, fille de Jean BOULET, tisserand (1819-1886) et de Rosalie Suzanne DEBAIN (1820-).
Contrat de mariage reçu par Me Ripart, notaire à Léré (18).
Témoins : Pierre MOREAU, 55 ans, chef cantonnier, oncle de l'épouse ; NICOLAS Alexandre, 26 ans, sabotier ; CAGNAT Alexandre, 41 ans cordonnier et BOULET Alexandre, 32 ans, tisserand, frère de l'épouse
Le couple eut sept enfants, tous nés à Santranges : Berthe Marguerite (1877), Blanche Lucie Alice (1879-1881), Edmond Isidore (1881), Irma Alice Noémie (1883), Georges Léon Edgard (1885), Maria Yvonne (1887) et Adolphine Lucie Andréa (1890).
Son père, Philippe Isidore MOREAU, décéda à Santranges le 3/06/1886, âgé de 62 ans, charron, veuf en premières noces de PEIGNET Tranquille et époux de RAMON Marie, né à Oizon, fils de feu Pierre MOREAU, en son vivant journalier à Oizon, et de feue Suzanne PASSARIOU, en son vivant journalière à Oizon.
Déclarants : Isidore MOREAU, 33 ans, fils du défunt, charron à Santranges, et Alphonse MOREAU, 26 ans, autre fils du défunt, charron à Paris.
Son épouse, Adélaïde BOULET, décéda à Santranges le 22/03/1906, âgée de 56 ans.
Philippe Louis Isidore MOREAU décéda à Santranges le 17/10/1907, âgé de 53 ans, charron, veuf d'Adélaïde BOULET, né à St-Martin-sur-Ocre (45), fils de feu Philippe Isidore MOREAU, de son vivant charron à Santranges, et de feue Marie Jeanne Tranquille PEIGNÉ, demeurant en son vivant à Autry-le-Châtel.
Déclarants : Edmond MOREAU, 25 ans, charron à Santranges, fils du défunt, et Eugène PERRIN, non parent, voisin du défunt, 39 ans, instituteur public.
(Source : AD Loiret et Cher numérisées : Etat civil ; Recensements ; Registres matricules).
MOREAU Auguste Edouard
MOREAU
En 1910-1912 Mme MOREAU est attestée comme Mère de l'Union Compagnonnique d'Orléans.
MOREAU
Mme MOREAU était la Mère des compagnons chapeliers du Devoir de Nantes depuis 1834 et était toujours en fonction en 1884, âgée de 74 ans et veuve.
Son cinquantenaire compagnonnique fut fêté le 12 octobre 1884, avec les compagnons chapeliers venus de Nantes, Albi, Villeneuve-sur-Lot, Les Sables-d'Olonne, Saint-Gilles-sur-Vie.