TOURNON Jean-Marie
Membre de la Fédération Compagnonnique de tous les Devoirs Réunis de Lyon en 1888.
TOURNON Louis
Né à Meylan (Isère) le 30 juin 1811 et prénommé Louis, fils de Gaspard TOURNON, cultivateur fermier résidant à Meylan, et de Victoire PELLET.
Témoins : Jean TOURNON, vigneron, et Joseph PELLET, cultivateur, tous deux aïeuls de l'enfant.
Entré sur le tour de France des compagnons du Devoir étranger, il est reçu compagnon tailleur de pierre à Montpellier le jour de Noël, le 25/15/1837, sous le nom de La Violette de Grenoble.
Marié à Saint-Martin-de-Miséré (Montbonnot-Saint-Martin, Isère) le 19/11/1845, âgé de 34 ans et quatre mois, ouvrier maçon et tailleur de pierre, né et domicilié à Meylan, fils de Gaspard TOURNON et de dame Victoire PELLET, mariés, propriétaires cultivateurs à Meylan avec Adèle Françoise PATUREL âgée de 19 ans et 2 mois, née à Montbonnot, cultivatrice domiciliée à Saint-Martin-de-Miséré, fille de sieur Pierre PATUREL, maître maçon et tailleur de pierre et de dame Françoise BRIANÇON, mariés et domiciliés au dit Saint-Martin-de-Miséré.
Le 20/07/1846, transcription de l'acte de décès de la commune de Saint-Just-de-Claix (Isère) : l'an 1846 et le 27 mai sont comparus BRUNET Jean, 57 ans et MOREL Antoine, 36 ans, propriétaires cultivateurs de cette commune qui ont déclaré que Louis TOURNON, maçon, né et domicilié à Meylan, 34 ans, fils de Gaspard TOURNON et de Victoire PELLET, époux d'Adèle Françoise PATUREL a été trouvé noyé dans l'Isère à l'endroit appelé "Bourrenier" en notre commune ce jourd'hui 27 mai 1846 à 5 heures du matin et qu'il a été reconnu par son beau-père, Pierre PATUREL, entrepreneur à Montbonnot et son beau-frère Victor GAUTIER, tailleur de pierre à Grenoble. De tout quoi, nous avons dressé acte sur la réquisition de M. l'officier de police judiciaire de Pont-en-Royans qui a ordonné l'inhumation.
(Source : AD Isère numérisé, état-civil).
TOURNURE Joseph
TOURNY Georges
TOURON Auguste
TOURON Jean
TOURRAL Jules Gabriel
Fils de François Grégoire TOURRAL, 38 ans, né à Marseille, chapelier et de Freusine Louise Baptistine CONSTANTIN, 31 ans, couturière.
Il fut reçu compagnon charron DD à Marseille pour la St-Jean 1908 sous le nom de Provençal l'Ami du Devoir.
Matricule 1602, classe 1908, incorporé au 15e escadron du train des équipages le 8 octobre 1909 comme soldat. Ouvrier en bois le 29 avril 1910. Envoyé dans la disponibilité le 24 avril 1911 avec certificat de bonne conduite.
Le 9 octobre 1911, il travaillait comme ouvrier charron chez M. Ravel à Puget-Ville (83) et le le 26 février 1912, il était à Levens (06), hameau du Plan-du-Var.
Il résidait à Lyon-Vaise, 45, rue de Bourgogne, le 25 juillet 1912 et le 4 janvier 1914, il se trouvait au siège des CC. charrons de Paris-3e, au 41, rue Charlot.
A la date de son mariage il était domicilié à Paris-3e, 41, rue Charlot (siège des CC. charrons DD).
Marié à Paris-3e le 11 juillet 1914, profession : forgeron, avec Anne Marie CLOAREC, cuisinière, née à Tréboul (29) le 20-03-1893, domiciliée à Paris, 59, rue Charlot et avant à Audierne (29), fille d’Eugène Pierre CLOAREC, pêcheur, et de Catherine KERIVEL, à Audierne.
Témoins : Raymond CHANTREAU, 24 ans, charron, 36, rue Bichat (C. charron DD, Beauceron le Soutien du Devoir) ; Sébastien LARNICOL, 27 ans, charron, 3, rue Alembert à Montreuil (93) (C. charron DD, Quimperlé l’Ami des Compagnons) ; Jean BELUZE, 26 ans, charron, 41, rue Charlot (C. charron DD, Beaujolais la Branche d’Or) ; Joseph JEAY, 27 ans, charron, 41, rue Charlot (C. charron DD, Languedoc l’Ami des Compagnons).
Rappelé à l'activité par la mobilisation générale du 1er août 1914, il arriva au corps le 4 août. Il passa au 55e régiment d'artillerie le 30 octobre 1916. Il passa au 16e régiment d'artillerie de campagne le 8 septembre 1917 puis au 13e escadron du train le 29 janvier 1919.
Mis en congé de démobilisation le 3 avril 1919, il se retira à Douarnenez (29).
Il revint à Paris, rue Charlot, le 5 avril 1919 mais, dès le 6 mai, il résidait au 17, rue Marqfroy. Le 10 février 1922, il habitait à Aubervilliers, la Couronne, Vieux chemin de Bondy.
Après le décès de son épouse, il se remaria à Paris-20e le 28 décembre 1929, profession : charron, à La Courneuve (93), 10, rue de la Tréfilerie, avec Marie Louise LOISEAU, blanchisseuse, 47 ans, née à Château-Renault le 7-04-1882, domiciliée à Paris, 12, rue Galleron, fille de François Désiré LOISEAU, décédé, et de Louise DUCLOUX, domiciliée à La Courneuve, 10, rue de la Tréfilerie, veuve de Pâques Adrien DUCROS.
Témoins : Maurice LETERMELLIER, ajusteur, 5, rue Galleron ; Louis DUCROS, caoutchoutier, 23, sentier des Buttes, à Montreuil.
Le 12 mars 1932, il habitait au 255, route des Petits-Ponts à Bobigny (93).
Il décéda à Bobigny le 8 septembre 1962.
(Source : AD Var numérisées : Etat civil et Registres matricules ; AM Paris numérisées : Etat civil).
TOURRES Bertrand
Vivant en 1901.
TOURRIOL Jules
Né à Puy-l'Eveque (46) le 27/02/1839, fils de Jean TOURRIOL, cordonnier, et de Marie Anne PETIT.
Marié à Puy-l'Evêque le 6/10/1861, profession : cordonnier, avec Jeanne Pétronille Amanda DRESLEWIEZ, tailleuse, née à Puy-l'Evêque le 26/07/1842, fille de Jean Adolphe DRESLEWIEZ, horloger, et de feue Marie Eulalie AUGIERL.
Témoins : Jean-Baptiste LAFARGUE, 57 ans, propriétaire ; Jean-Baptiste BLEY, 27 ans, tailleur ; Etienne COPOULUN, 57 ans, propriétaire ; Jean-Pierre CALASSOU, 56 ans, propriétaire.
Le couple s'établit ensuite à Cahors (46).
En 1884 il tenait le Café du Progrès à Cahors.
Trésorier des CC. réunis de Cahors en 1885.
Décédé à Cahors le 16/04/1887, âgé de 47 ans, ancien cordonnier, boulevard Gambetta, époux d'Amanda DRESLEWIEZ.
Déclaration de décès par Henri CAVALIé, 31 ans, ferblantier, et Michel ALAMIOU, 26 ans, cultivateur.
Il décéda après avoir sauvé deux enfants qui se noyaient. Il fut médaillé de 1ère classe pour cette action.
Sa santé en fut éprouvée et il mourut peu après, âgé de 45 ans.
(notice nécrologique dans : La Fédération Compagnonnique n° 147 du 19 juin 1887, p. 94).
(Source : AD Lot numérisées : Etat civil).
TOURTE Jean-Marie
Reçu à 20 ans.