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  1. Musée du compagnonnage
  2. Généalogie
  3. But et structure
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Généalogie

AVERTISSEMENT : La base nominative des compagnons que vous allez consulter est issue de diverses sources (archives du Ralliement des compagnons du Devoir, listes de tisseurs et de bourreliers, compagnons morts en 1914-1918, presse compagnonnique...). N'y figurent pas, en principe, de compagnons encore en vie. Cette base ne comporte pas tous les noms des compagnons de tous métiers, tous Devoirs et toutes époques et les notices sont souvent incomplètes. Cette base s'enrichit cependant régulièrement. Vous pouvez nous aider à compléter les notices grâce à vos propres informations familiales et même les illustrer par des portraits. Merci par avance.

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But et structure

Le but des sociétés compagnonniques était d’assurer une éducation morale et professionnelle à des jeunes gens après leur apprentissage, dans un climat de fraternité et d’entraide. Ils étaient admis au sein de leur association s’ils le méritaient par leurs capacités professionnelles, leur honnêteté et leur engagement. Cette affiliation était sélective. Ils devaient subir les épreuves d’une cérémonie secrète appelée la réception ou le passage, ou plus tardivement, l’initiation. Ils pouvaient porter une canne et surtout arborer les emblèmes de leur société : des rubans appelés couleurs.

Enfin, au sein de leur groupe, on ne les désignait plus que par un « nom de baptême », un surnom, composé en général d’une référence à leur province ou ville de naissance, suivie d’une vertu, d’un trait de caractère, voire d’une particularité physique ou même d’un qualificatif lié à un épisode de sa vie, un élément d’architecture, etc. D’où des surnoms tels que Bordelais la Constance, Percheron le Chapiteau, La Rose de Bordeaux, La Bonté le Provençal, Langevin le Boiteux, etc. La forme du surnom variait parfois selon la société et a même évolué pour un même métier selon les époques.

Carte des compagnons serruriers du Devoir, vers 1900
Carte des compagnons serruriers du Devoir, vers 1900
La réception, gravure de Jules Noël (1845)
La réception, gravure de Jules Noël (1845)
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8 rue Nationale
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